Voilà, le premier coup de gueule publié sur mon blog... Une fois n'est pas coutume...
Je viens de prendre près de deux heures à regarder un vrai navet!
Antonio Vivaldi, un prince à Venise. Et quel navet! Il y avait certes de la belle
musique et de beaux décors, mais ça s'arrête là. Je sais que ce film est sorti il y a déjà
un bon moment mais je ne l'avais pas vu et je me faisais une joie de le regarder ce soir.
Quelle déception! Le jeu des acteurs était d'une affligeante médiocrité, on n'y croyait
pas une seule seconde. Et le scénar, on n'en parle même pas... C'était carrément grotesque!
Bon voilà pour le coup de gueule mais il fallait que ça sorte...
Au lieu de ce ratage il vaut mieux regarder un petit film qui est cent fois plus "vrai" dans l'esprit : "Rouge Venise" (1989).
RépondreSupprimerRésumé
A Venise, alors que le carnaval bat son plein en l'an de grâce 1735, un jeune avocat en rupture de barreau, Giro Goldoni, s'acharne à croire en un théâtre proche de la vie. Miracle ! Spinozza accepte de financer sa pièce, et Goldoni rencontre la femme de sa vie, Nicoletta. Il la retrouve dans l'académie musicale de son ami Vivaldi, qui forme avec lui et le peintre Tiepolo, un joyeux trio. Las ! le père de Nicoletta ne veut pas de lui pour gendre, et Spinozza est retrouvé poignardé, un mouchoir rouge sur le corps. Au retour d'une joyeuse soirée, Giro assiste au meurtre d'une femme, poignardée par un homme masqué qui jette un mouchoir rouge sur elle. Entre-temps Tiepolo a pu présenter ses amis à la princesse Hortense, qui les invite à sa réception du lendemain. Mais le Grand Inquisiteur soupçonne Goldoni de manier le poignard, en ces temps de désignation du Doge qui voient s'affronter Pisani et Torelli. Vivaldi triomphe à la soirée de la princesse, et Goldoni trouve en elle une mécène. Nouvelle catastrophe : Hortense est assassinée dans les mêmes conditions et Giro emprisonné par le Grand Inquisiteur. Torelli, accusé d'agissements illicites par ses adversaires, devient le nouveau protecteur de Vivaldi, puis de Goldoni, lorsque ce dernier est relâché, après un nouvel assassinat. Utilisant son arme favorite, le théâtre, Giro obtient la main de Nicoletta, démasque le coupable qui n'est autre que Torelli, en dévoilant les motifs de ses crimes, et trouve un nouveau mécène en la personne du Grand Inquisiteur.
(Les Fiches du Cinéma)
Merci pour cette suggestion Aldo. Je vais essayer de le trouver.
RépondreSupprimerComme toi AnnaLivia, je n'ai pas le souvenir d'avoir jamais vu un tel navet.
RépondreSupprimerJ'avais vu cette "oeuvre" vraiment pas impérissable lors de sa sortie en salle, et pour courronner le tout, il y avait eu une panne de son pendant plusieurs minutes.
Même les décors n'étaient pas adéquat.... et il est triste aussi de penser que c'était le dernier film où apparaissait le génial Michel Serrault.
Vdp: C'est vrai qu'on se demandait ce que la "grotte" faisait là!? Dommage... N'y pensons plus!
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